Jour de chine : automne 2015
Un été sans chine passé à se lever tard alors heureusement qu'à l'automne, j'ai pu faire des puces de couturières et ramener un butin précieux de boutons ciselés et de petites bobines de fil.
Puis, je compte toujours sur Guignol et Blanche aux trouvailles incroyables. C'est elle qui m'a trouvé ce porte-prix de boucher et offert ces délicates cartes anciennes. Ainsi que sur mon père, qui trie depuis quelque temps nos souvenirs d'enfance et me ressort d'improbables trésors comme ces cartes de première communion de mes aïeuls (peintes à la main sur du celluloïd), des livres d'Heidi que je souviens d'avoir lus ... Un gigantesque salaldier Digoin arrivé miraculeusement chez mes parents après un dîner chez leurs amis qui ont eu le bon goût de servir le dessert dans des assiettes Digoin ...
Mais c'était sans compter aussi les copines, les tours et détours dans les ruelles de Lourmarin et la brocante de l'abécédaire à Lyon le week-end dernier : des oeillers brodés, du Digoin éternel, de la mercerie ancienne et un ravisant petit marquoir rouge.